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Texte
(Sophocles) SOPHOCLE
Traduction
Nicolas WAPLER
Mise en scène
Jean-Christophe BLONDEL
Jeu
Franck ANDRIEUX
,
Benjamin DUBOC
,
Michel GRAND
,
Alexandra GRIMAL
,
Pauline HURUGUEN
,
Claude MERLIN
,
Albertine VILLAIN GUIMARRA
Musique sur scène
Benjamin DUBOC
,
Alexandra GRIMAL
Mais alors, votre renommée ? Votre gloire ? Des mots ? Du vent ? Tout ce qu’on dit sur Athènes la pieuse, refuge des exilés en danger, oublié tout ça quand il s’agit de moi ?
 
Que faire du vieil Œdipe, trop sale, trop laid, à l’humour ravageur et si peu diplomatique ? Il rendrait tellement plus de services mort que vivant… La dernière œuvre du vieux Sophocle nous parle de notre rapport aux étrangers, aux plus âgés, à tous ceux qui coûtent trop cher… Un spectacle pour lieux de nature, une nature généreuse qui pour Sophocle devrait nous réconcilier avec l’art de l’hospitalité.
     
 
 
 
 
Texte
Paul CLAUDEL
Mise en scène
Jean-Christophe BLONDEL
Jeu
Valérie BLANCHON
,
Pierre-Alain CHAPUIS
,
Pauline HURUGUEN
,
Yannik LANDREIN
Dans votre vie à vous, rien n'arrive. Rien qui aille d'un bout à l'autre. Rien ne commence, rien ne finit. Ca vaut la peine d'aller au théâtre pour voir quelque chose qui arrive.
 
Quelque part sur la côte Est des Etats-Unis, à l’aube du XXe siècle. Un jeune Indien et une paysanne exilée s'aiment et survivent sur les terres d'un miliardaire et de sa femme actrice. L'échange de cette journée tragique marquera la naissance d'un nouveau monde et la disparition de ceux qui n'y ont plus leur place, disparus "comme sur l'aile de la fumée"
     
 
 
 
 
Texte
Henrik IBSEN
Traduction
Solveig SCHWARTZ
Mise en scène
Jean-Christophe BLONDEL
Jeu
Valérie BLANCHON
,
Jean-Luc CAPPOZZO
,
Claire CHASTEL
,
Benjamin DUBOC
,
Philippe HOTTIER
,
Eléonore JONCQUEZ
,
Michel MELKI
Musique sur scène
Jean-Luc CAPPOZZO
,
Benjamin DUBOC
- C’est horrible. Il n’en a finalement pas été capable.
- Mais tout en haut il est allé ! Et j’ai entendu des harpes dans les airs… mon… mon… constructeur.
 
Solness vieillit. Il a tout réussi : il y a vingt ans, l’incendie de la propriété de sa femme a été pour lui l’occasion de lancer sa carrière de bâtisseur et il jouit aujourd’hui de son monopole sur la région, tuant dans l’œuf la concurrence de la jeunesse. Il ne redoute plus qu’une chose : la visite de la Mort. Mais c’est une toute jeune femme qui sonne à sa porte…
     
 
 
 
 
Texte
Paul CLAUDEL
Mise en scène
Jean-Christophe BLONDEL
Jeu
Marc ARNAUD
,
Fabrice CALS
,
Eléonore JONCQUEZ
,
Cédric MICHEL
,
Nicolas VIAL
Musique sur scène
Na WU
Je vous regarde, ça me regarde.
Et je vois vos pensées, confusément comme des moineaux près d'une meule lorsqu'on frappe dans ses mains,
monter toutes ensembles
à vos lèvres et à vos yeux...
 
Découverte d’un rythme, d’un appareil à penser, abrupt, sans fioriture, où chaque vers suit l’émergence d’une vérité intérieure. Découverte d’une force humaine en proie à des combats essentiels, le volontarisme contre le lâcher prise, la quête de sens contre la quête de profit. Découverte d’une machine stylistique vertigineuse, brassant les codes du boulevard et de la tragédie, racine de la modernité théâtrale.